Dimanche des missions et Semaine missionnaire mondiale

En 2018, le Dimanche missionnaire mondial sera célébré le dimanche 21 octobre, en la fête de Saint Jean-Paul II. Dans de nombreux pays, le dimanche missionnaire mondial est précédé de la semaine missionnaire mondiale. Elle invite tous les chrétiens à s’informerr, prier et partager avec toutes les Églises du monde.

La semaine missionnaire mondiale répond à un triple objectif :
– S’informer sur la vie des chrétiens à travers le monde ;
– Prier pour la mission ;
– Participer financièrement au fonds missionnaire mondial pour soutenir l’Evangélisation dans le monde

Le thème retenu pour les animations pastorales est :

J'ai soif de toi, viens

Le mois d’octobre, en Église, a des accents d’universalité. Depuis plus de 90 ans, ce temps pastoral est confié aux Œuvres pontificales Missionnaires pour inviter l’ensemble des fidèles catholiques à s’ouvrir à la dimension un iverselle de l’Église et à faire œuvre de charité et de fraternité avec nos frères et sœurs des cinq continents, notamment en participant à la quête du dimanche missionnaire mondial.

Le thème retenu par les Œuvres Pontificales missionnaires nous invite aussi à être en communion avec les évêques réunis à Rome pour le synode sur les jeunes, la foi et le discernement des vocations.

Toirs axes pastoraux des Œuvres Pontificales Missionnaires :

• Se former et s’in,former
• Prier et animer
• Partager en Eglise

Anne Déloy – Mgr Patrick Le Gal

Dans le diocèse

Bernay : Vendredi 19 de  20h à 21h  à  l'église Sainte Croix : veillée de prière animée par  les lycéens ouverte à tous.

Le thème de cette semaine missionnaire?  

Dieu entretien des relations d’amour avec chacune de ses créatures ; on poeut donc dire qu’Il «  a soif » de chacune d’elles. Si cette phrase, « J’ai soi de toi, viens ! », peut être entendue comme une parole du Seigneur, elle est adressée à, chaque être humain. Accueillie par chaque « disciples-missionnaires », cette parole engage pour mieux prendre conscience de l’urgence de la mission chrétienne et de la responsabilité missionnaire qui incombe à chaque baptisé. En effet, il faut que tout être humain apprenne que le Seigneur « a soif » de lui. En accueillant la Bonne Nouvelle qui lui est annoncée, tout être humain prend conscience que lui aussi à soif du Seigneur, son Créateur e son Sauveur. Ce faisant , il perçoit mieux l’importance de la quête de sens de ses contemporains et les diverses expressions de leur attente du Salut.

Avoir soif, c’est faire l’expérience de la nécessité de l’eau. L’eau, c’est la vie et son symbolisme est fort, notamment quand on le rattache à la soif, aux payes et aux régions où elle manque. Elle est souvent présentée dans les mythologies comme un élément fondamental d’où toute vie a surgi. Elle est source de puissance de vie ; sans elle, la terre se transforme en désert aride, en pays de la soif et de la faim, où les bêtes, les végétaux et les êtres humains sont voués à la mort. Certes, les eaux de la mort sont terrifiantes ; les inondations engloutissent les vivants et dévastent la terre. Mais le Créateur est le Dieu de la vie et l’eau symbolise d’abord la vie, l’accueil et la purification. L’eau offre des possibilités de se laver, de faire la lessive, de se baigner, mais aussi de procéder à des ablutions cultuelles ; elle est utilisée pour le baptême.

Pierre Diarra
Théologien, responsable de l’Union Pontificale Missionnaire

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